Ce fut une longue bataille que l’ADEAF a mené avec d’autres associations. Beaucoup de temps et de l’énergie, des frais d’avocat ... Mais voilà, cela valait le coup. La certification obligatoire en anglais avec les conséquences désastreuses pour les autres langues et donc un appauvrissement de la compétence plurilingue de notre jeunesse, n’est plus qu’un mauvais souvenir.
Une petite victoire, cela fait du bien ...
Voici le communiqué inter-associatif suite à la décision du Conseil d’Etat.